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L’Aindinois, c’est son nom, a été réfléchi et conçu par Sébastien Bouton et monté, fabriqué dans le bassin thiernois (Thiers étant la capitale de la coutellerie).

Un jour, Sébastien Bouton a entre les mains le très beau livre : Couteaux de France, histoire des couteaux régionaux de Christian Lemasson.
Il tombe sur une page où l’auteur écrit sur une coutellerie à Nantua, tenue sans doute depuis la Révolution par la famille Valle.

Ça a fait tilt dans sa tête, quand  il vu le couteau !

Il décide de lui redonnez vie !

Moins long que l’original, il comprendra une lame de qualité 14c28, de 10 cm format tonneau, une seule mitre entre la lame et le manche, et une bélière, sorte d’anneau, à l’arrière du manche.

Pour le manche, le coutelier de l’avenue Maginot a choisi quatre essences locales, que sont le chêne, le buis, le noyer et le cep de vigne.

Près de 200 exemplaires de l’Aindinois sont en vente entre 140 et 180 € (selon le bois du manche).